Avant d'aller dormir, S.J. Watson

Lecture n°14 de 2016

Quatrième de couverture : 

" Chaque matin, c'est le même effroi. La même surprise.

En se découvrant dans la glace, Christine a vieilli de vingt ans. Elle ne connaît ni cette maison, ni l'homme qui partage son lit.

Et chaque matin, Ben lui raconte. L'accident. L'amnésie...

Ensuite, Christine lit son journal, son seul secret. Et découvre les incohérences, les questions, tout ce qu'on lui cache chaque matin, posément. Peut-être pour son bien... Peut-être pas."

Mon avis : 

Suite a un grave accident, Christine a perdu la mémoire de sa vie. Chaque nuit, elle oubli ce qui c'est passé lors de la journée précédente. A chaque réveil, c'est un éternel recommencement, dans un corps, une vie, dont elle n'a aucun souvenir. Contacté par le Dr Nash, elle va écrire quotidiennement un journal pour pouvoir se raccrocher jour après jour à ses mots, ses souvenirs récents, sa quête de retrouver la mémoire. Pour cela, le Dr devra lui téléphoner tous les jours, pour lui rappeler qui il est, mais aussi où est son journal, et tous les jours elle redécouvrira ce qui c'est passé, ce qu'elle a appris sur elle, lors des jours et semaines précédents jusqu'à découvrir toute la vérité. 

Alors, l'intrigue est au départ plutôt pas mal, c'est plutôt bien écrit, mais je me suis lassée de cet éternellement recommencement, avec de sacrées longueurs parfois, il faut bien l'admettre. Donc jusqu'à la troisième partie, ce fut long pour moi. En effet, dans cette dernière partie, tout s'accélère enfin, au dépend de Christine, le personnage principal, mais pour mon plus grand plaisir, car je commençait sérieusement à m'ennuyer. Enfin un peu d'action! Du coup, j'avais eu le temps de cogiter et le dénouement ne m'a pas vraiment surpris puisque je l'avais imaginé...En revanche, le final, la toute dernière phrase,  m'a laissé sur ma fin, car là, j'aurais aimé en savoir plus! Bref, je suis pas satisfaite vous l'aurez compris... 

Je sais que ce livre a été un réel succès et que beaucoup l'on adoré, pour moi c'était bien mais sans plus, à la limite de la déception... 

 sans plus...